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InGen ou International Genetic Technologies est une entreprise de biotechnologie créé en 1970 et dirigée par John Hammond. Cette société effectue des recherches sur les dinosaures dans le but de cloner ces créatures et de les exposer dans un parc à thème appelé Jurassic Park . Il est difficile de savoir si l'enseigne "Jurassic Park" est une branche, une section de InGen ou si elle est une entreprise individuelle mais la plupart des gens pensaient qu'elle faisait partie intégrante de l'entreprise. 

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|| Le rôle de la fondation ||[]

InGen est une société qui, à l'origine, pratiquait des manipulations génétiques comme beaucoup d'autres entreprises le faisaient à cette époque, on parle notamment d'éléphants miniatures. Cependant, International Genetic Technologies décidait d'aller beaucoup plus loin, de voir beaucoup plus grand. Grâce à de l'ADN extrait des moustiques retrouvés dans de l'ambre, les scientifiques d'InGen sont parvenus à cloner des dinosaures. Grâce à l'ingéniosité d'Henry Wu, étudiant de Norman Atherton, l'ADN de dinosaures est mélangé avec celui de grenouilles pour combler les lacunes génétiques. Norman était tout d'abord le généticien en chef mais à sa mort, son étudiant le remplace. Durant l'incubation des oeufs, la température est régulée de manières à obtenir uniquement des femelles. Ainsi, ce processus permet de contrôler la population dans les différentes îles. 


|| Histoire et Contexte ||[]

La fin du XXe siècle a vue dans le domaine scientifique un genre de nouvelle ère, une ruée vers l'or d'une grande ampleur que l'on pourrait qualifier de mouvement impétueux et acharné pour commercialiser les nouvelles découvertes génétiques. Le phénonème s'est développé si rapidement et a fait l'objet de si rares études en dehors de la communauté scientifique que son extension et ses conséquences sont très mal comprises. La biotechnologie est à son apogée, elle annonce la plus grande révolution de l'histoire de l'humanité. On envisage la possibilité nouvelle que, dès la fin de la décennie, ses applications dans notre vie de tous les jours dépasseront considérablement celles du nucléare et de l'informatique.

La révolution biotechnologique diffère cependant sur trois points essentiels des précédentes transformations scientifiques. 

Premièrement, elle a une large base. Les Etats-Unis sont entrés dans l'ère atomique grâce aux travaux uniques d'un groupe de chercheurs situés à Los Alamos, puis dans l'ère informatique grâce aux recherches effectués dans plusieurs entreprises. Les chercheurs en biotechnologies, eux, sont aujourd'hui disséminés dans plus de deux milles laboratoires uniquement sur e territoire américain. Cinq cents entreprises dépensent cinq milliards de dollars par an pour seulement cette technologie. 

Deuxièmement, une grande partie de ces recherches sont dépourvus d'intérêt et manque gravement de sérieux. Des travaux visant à créer des truites d'une couleur très claire pour les rendre plus visibles dans un cours d'eau, des arbres à section carrée pour faciliter le débitage ou encore des cellules odorantes injectables pour sentir en permanence son parfum préféré. Tout ceci pourrait passer pour une vulgaire blague, mais il n'en est rien, c'est un fait. En réalité, ces différentes applications dans ces industries souvent soumises aux caprices de la mode telle que la cosmétologie et les activités de loisirs contribuent à augmenter les inquiétudes sur une utilisation fantaisiste de cette nouvelle technologie. 

Troisièmement, ces travaux ne font l'objet d'aucun contrôle. Nul ne les supervise, aucune loi ne les réglemente à cette date et il n'existe aucune politique gouvernementale cohérente et ceux pas plus aux Etats-Unis qu'ailleurs. Personne ne connaît réellement leurs conséquences. La gamme des produits allant des drogues aux productions agricoles et à la neige artificielle, l'instauration d'une politique intelligente est d'une certaine manière bloquée. 

Par ailleurs, la communauté scientifique ne fait l'objet d'aucune surveillance. La quasi totalité des généticiens sont également engagés dans le commerce de la biotechnologie. Il n'y a pas d'observateurs désintéressés, cette technologie est un moyen efficace pour gagner de l'argent et il y a beaucoup à gagner. 

La commercialisation de la biologie moléculaire est, sur le plan de l'éthique, l'événement le plus étonnant de l'histoire de la science. Depuis Galilée et pendant près de quatre siècles entiers, la science a mené sans relâche ni contrainte ses investigations sur les mécanismes de la nature. Pour les scientifiques, il n'y avait absolument aucune frontières et ils ne se souciaient pas de politique ou de guerres. Ils se rebellaient contre le secret des recherches et voyaient d'un mauvais oeil la nécessité de faire breveter leurs découvertes. Pour eux, ils oeuvraient pour le bien de l'humanité et pour des générations suivantes. 

En 1953, Francis Crick et James Watson, deux jeunes chercheurs, déchiffrèrent la structure de l'ADN. Leurs travaux furent salués, c'était un triomphe de l'esprit humain, un pas décisif dans la quête séculaire vers la compréhension de l'univers. 

Trente ans plus tard, la plupart des collègues de Watson et Crick étaient engagés dans une oeuvre d'un genre entièrement différent. La recherche génétique moléculaire était alors devenue en avril 1976 une vaste entreprise commerciale, avec des milliars de dollars à la clé. 

Tout le monde semblait n'avoir qu'un seul but : s'enrichir. De nouvelles sociétés étaient créées chaque semaine ou presque et les scientifiques affluaient pour s'adonner à l'exploitation de la recherche génétique. En 1986, on comptait au moins trois cent soixante-deux chercheurs. Le nombre de ceux qui avaient investi avec leurs propres argents ou occupaient un poste de consultant était encore beaucoup plus élevé.

Il s'agit donc d'un changement d'attitude d'une grande importance puisque quelques années auparavant, les adeptes des recherches fondamentales méprisaient les affaires et la poursuite de l'argent était une activité futile. Il y a cependant de nos jours très peu de spécialistes de la biologie moléculaire et d'instituts de recherches qui ne soient pas rattachés à une structure commerciale. La recherche génétique se poursuit donc avec une frénésie accrue mais elle est faite en secret, à la hâte et avec unique but le profit. 

C'est dans ce climat mercantile que l'on voit apparaître une société ambitieuse, International Genetic Technologies, basée à Palo Alto. Les recherches d'InGen sont menées dans le plus grand secret et c'est pourquoi l'incident "InGen" de 1989 sur cette île appelée Isla Nublar est passé sous silence après un court passage au Tribunal. Le procès n'attira guère l'attention des médias, l'affaire semblait banale ; InGen était la troisième entreprise de biotechnologie à déposer son bilan cette année là et la septième depuis 1986. Peu ou voir aucun documents ne furent rendus publics, l'affaire était réglé en moins d'un mois. 

InGen reprend donc du service et poursuit son travail mais la société fera faillite en 1995. On apprend également l'existence d'une autre île,Isla Sorna , peuplée elle aussi de dinosaures et, après ça, elle disparaît littéralement de la circulation, on n'en entend plus du tout parler. La biotechnologie est définit alors comme étant l'application des principes scientifiques et de l'ingénierie à la transformation de matériaux par des agents biologiques pour produire des biens et des services par l'OCDE, l'Organisation de coopération et de développement économiques. Le temps passe et de nouvelles rumeurs circulent à nouveau. L'éponge passé, les dettes effacées et l'inexistence dans l'histoire auparavant de l'incident dans son "zoo", John Hammond se permet d'ouvrir ou de rouvrir un parc à thème : le Jurassic Park.


|| Analyse logotype ||[]

Un logotype, plus couramment appelé « logo », est une représentation graphique qui sert à identifier de manière unique et immédiate les sociétés, associations, institutions, produits, services, évènements, ou toute autre sorte d'organisations dans le but de différencier le propriétaire du logotype des autres entités. Un logotype est en général une marque écrite à l'aide d'une fonte de caractères spéciale, et disposée d'une manière particulière, mais lisible.

Cette analyse qui va suivre et une analyse que l'on ne pourrait pas qualifier de professionnels mais elle est basé sur des connaissances et des études fondées. 

Pour commencer, le I de IN peut faire songer à un être humain ou tout du moins à la forme que l'on lui donne très souvent par le dessin. Le N, lui, peut rappeler un ordinateur ou une console informatique. Ainsi le IN serait un humain travaillant dans un domaine lié à l'informatique.

Le GEN précise que cette humain travaille sur les gènes, la génétique et donc qu'il travaillerait sur la manipulation génétique.

L'inclinaison du logotype symbolise le fait que le personnage se penche sur la génétique et que dans un sens, il va de l'avant, que l'entreprise suit une direction précise et quelle permet de faire avancer les choses. C'est un signe commun dans beaucoup d'autres logotypes et qui, bien souvent, a cette même signification.

Le sens du logotype relie tout ce qui a été dit précédemment puisque InGen en anglais veut dire "dans la génétique", GEN étant les trois premières lettres de "génétique" et il peut donc être qualifier d'abréviation. 


Bibliographie[]

  • Michael Crichton, Jurassic Park, roman, édition Robert Laffont, 1990
  • Michael Crichton, Le monde Perdu, roman, édition Robert Laffont, 1995
  • Wikipédia, définition de logotype et de OCDE ainsi que de nombreuses recherches sur la génétique
  • Wikia Jurassic Park, traduction par Cole Hudsonhttp://jurassicpark.wikia.com/wiki/InGen
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